Aujourd’hui je vais vous présenter une petite astuce bien pratique sous Eclipse (version 3.5 testée ici, mais cela devrait fonctionner avec toutes les version d’Eclipse) : l’utilisation du « Scrapbook« .

Il arrive souvent au court d’un projet de vouloir tester un petit bout de code, par exemple un code de formattage d’une chaîne de caractère mais sans vouloir tester la totalité de l’éxécution du projet Java en cours (Servlet, programme console, swt ou autre…).

Pour faire cela Eclipse possède une fonction très pratique et assez méconnue le « Scrapbook » que Google Traduction traduit par « album de coupures de journaux »…Pour ma part je traduirai cela plus par brouillon ou bac à sable vu le contexte.

Mais quelque part cette traduction pourrait convenir, en effet imaginez que vous trouviez un petit bout de code qui vous intéresse sur un site/blog, vous le copier puis coller dans le Scrapbook,  les journaux sont ici électroniques et la souris fait office de ciseaux .

Note :
Je suppose ici que vous disposez d’un projet Java en cours ouvert sous Eclipse (dans le cas contraire, créez un projet Java : File->New->Java Project, nommez le projet comme bon vous semble, par exemple de manière super originale « test » ).

Pré-requis :

  • Eclipse, si vous débutez la version Java fera très bien l’affaire (disponible sur http://www.eclipse.org/downloads, sélectionner « Eclipse IDE for Java Developpers« )

Et c’est tout !

Et maintenant passons à la pratique, pour cela commencer par lancer Eclipse et laissez-vous guider.

1/ Créez la page « Scrapbook » qui va contenir votre bout de code à test, comme indiqué ci-dessous (File->New->Other).

2/ Sur l’écran qui suit, tapez « scrap », le début du mot Scrapbook afin de filtrer les différents type de projets proposés par Eclipse, ce qui permet de gagner du temps (personnellement j’en ai une quantité car je développe avec la version J2EE d’Eclipse). Puis cliquez sur « Next« .

 

3/ Donnez un nom à votre fichier, par exemple « brouillon« . C’est dans ce fichier qu’Eclipse sauvegardera les bout de code testés que vous choisirez de conserver.

 

4/ Votre page « brouillon » s’ouvre. Notez l’extension « .jpage » du fichier qui permet de le distinguer d’un fichier « .java » classique.

 

5/ Tapez le code Java figurant dans l’exemple ci-dessous, mais sans le « sys » qui n’est indiqué sur la capture qu’à titre d’information afin de montrer que l’auto-complétion du code Java fonctionne de manière analogue à ce qui se ferait lors de l’édition de code d’un fichier Java classique (.java).

Puis suivez les étapes indiquées afin de tester votre bout de code.

Voilà ! C’est tout pour aujourd’hui !

Rendez-vous très bientôt pour de nouvelles astuces sur Eclipse.

La pensée du jour…

Publié: 01/04/2011 dans Pensées

Si tu veux changer le monde, commence par faire du business.

Kawazaki

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(Source photo : OM.net)

Mercredi soir (03/11/2010), Marseille a rempli le contrat ! Victoire 7 à 0 face à la modeste équipe Zilina (Slovaquie) en 4eme phase de poule de la Champion’s League….

L’OM soigne ainsi sa différence de but.

Allez les enfants on peut y arriver !!!

La qualification est à portée, à suivre donc…

Plus d’info sur le site Om.net

Allez l’OM !

C’est la Toussaint !

Publié: 29/10/2010 dans Humeur
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Ca y est ! c’est le week end !

Et qu’est-ce qu’on fait le week end ?! mmm….?

On prend sa voiture, on fait les boutiques, ou… on on prend sa voiture et on fait les courses, ou on prend sa voiture on va au ciné… ou on prend sa voiture et on va voir des amis….ou…

Waw mais je ne peux pas me passer de voiture!!!!

Bah wai, je suis dépendant à la voiture comme tout le monde !

Et comme j’adore ma planète, je roule au diesel .

Et ne me parlez de voiture électrique : zéro autonomie pour un impact sur la planète qui n’a rien de négligeable quand on voit toutes les substances que contient une batterie…

Mission du Week end donc : trouver du gasoil….!!!

Bon week-end de la Toussaint a tous !

Il faut savoir que le support Firebird dans Eclipse Galileo n’est pas disponible de base, pour vous en rendre compte, rendez-vous dans Window->Preferences->Data Management->Connectivity->Driver Definitions puis cliquer sur "Add", la liste "Vendo filter" ne présente pas Firebird… il faut donc ajouter le support Firebird manuellement, ce que je vais détailler ci-dessous.

Voici les pré-requis :

  • Eclipse Galileo (disponible sur http://www.eclipse.org/downloads), personnellement j’utilise une version J2EE (" Eclipse IDE for Java EE Developers") mais n’importe quelle version peut faire l’affaire, comme la version Java par exemple ("Eclipse IDE for Java Developers").

1/ Installation du driver

Dézippez l’archive "Jaybird-2.1.6JDK_1.6.zip" qui contient le driver et copiez le fichier "jaybird-full-2.1.6.jar" dans "C:\Program Files\Java\jre1.6.0_05\lib\ext " (par exemple).

2/ Installation du plugin Firebird DTP Plugin pour Eclipse

Dézippez l’archive "firebird_DTP_1.0.1.200907101543.zip" et copier l’ensemble des fichiers jars contenus dans l’archive dans le dossier plugins d’Eclipse, dans mon cas "C:\eclipse-jee-galileo-SR2-win32\plugins".

3/ Verifier que le support Firebird est bien actif Eclipse et paramétrez le driver

  • Lancer Eclipse si ce n’est déjà fait, sinon faites "File->Restart".
  • Vérifier que le support Firebird a été activé, pour cela, rien de plus simple, rendez-vous dans Window->Preferences->Data Management->Connectivity->Driver Definitions puis cliquer sur "Add", dans la liste "Vendo filter", vous pouvez maintenant sélectionner "Firebird".
  • Dans liste juste en-dessous nommée "Available Driver templates", sélectionnez Firebird Jdbc Driver, Eclipse vous indique alors une erreur du type "unable to locate jar/zip…", ce qui est normal puisque nous n’avons pas encore indiqué où se trouve le driver Firebird (le fichier "jaybird-full-2.1.6.jar").
  • Cliquez sur l’onglet "Jar List", sélectionnez "jaybird-full-2.1.6.jar" puis cliquez sur "Edit JAR/zip…", afin de sélectionner le driver, qui doit se trouver dans "C:\Program Files\Java\jre1.6.0_05\lib\ext" si vous ne l’avez pas modifié, comme indiqué au début de l’article.
  • Cliquez sur "OK", le driver Firebird est maintenant disponibles dans "Driver Definitions", cliquez sur "OK" pour revenir sous Eclipse.

5/ Connexion à la base de données (ouf on y arrive !)

  • Activer la vue Data Source Explorer (Window->Show View et choisir "Data Source Explorer") si la vue n’est pas déjà active.
  • Dans la vue Data Source Explorer,cliquez sur Database Connections avec le bouton droit et choisir "New".
  • Sélectionnez "Firebird" dans la liste des type de connexions proposées, dans name renseignez un nom qui vous permettra d’identifier facilement votre nase de données (ex. "Bdd Compta")
  • Cliquer sur Next ("Suivant"), et renseignez les paramètres de connexion à votre base de données, notamment l’URL (du type "jdbc:firebirdsql:host/3050:/path/to/testdb.fdb"), le User Name ainsi que le Password.
  • Cliquez sur "Test Connection", si tout se passe bien, vous obtenez le message "Ping Succeeded !", dans le cascontraire, vérifier vos paramètre de connexions.

Exemple de paramètres de connexions pour une base de donnée partagée sur le réseau :

  • URL

jdbc:firebirdsql:10.2.4.18/3050:c:/mon_dossier_partage/bdcompta.fdb

Cette url de connexion indique que votre base de données "bdcompta.fdb" est partagée sur le réseau sur le poste d’adresse IP "10.2.4.18" qui lui, héberge votre base de données (le fichier "bdcompta.fdb" donc) dans le dossier partagé nommé "mon_dossier_partage".

  • User Name

Indiquez le login de connexion, par exemple "sysdba" si vous êtes administrateur de la base de données.

  • Password

Il s’agit du password correspondant au login renseigné. Pensez à cocher la case "Save password" afin d’éviter d’avoir à saisir le mot de passe à chaque connexion à la base de données

Voilà c’est terminé ! Vous pouvez maintenant parcourir votre base de données Firebird et utiliser le "SQL Scrapbook" pour faire vos requêtes SQL directement sous Eclipse.

Trop coooool !!!!!!

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Certaines applications les plus populaires sur Facebook violeraient la vie privée des utilisateurs.

C’est ce qu’indique le Wall Street Journal le 17 octobre.

Parmi ces applications, on peut citer une des  applications les plus populaires : Farmville (Zinga Game Network).

Les données seraient transmise « y compris pour ceux qui avaient réglé leurs options de confidentialité pour que leur profil soit totalement privé » indiqué le journal.

Silicon.fr indique que le problème viendrait de l’exploitation du numéro identifiant que Facebook attribut à chacun de ces membres : le Facebook ID.

Plus de détails sur http://www.silicon.fr/facebook-les-fuites-de-donnees-personnelles-continuent-42522.html.

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C’est le week end!

Publié: 16/10/2010 dans Humeur

Çà y c’est le week end! Ouf!

L’occasion pour moi de prendre le temps le matin et de savourer un vrai petit déjeuner…

Je vais tâcher d’en profiter car la semaine s’annonce chargée. 😉

J’en profite aussi pour mettre en place une nouvelle rubrique, la rubrique « Le week-end c’est permis! », vous y trouverez… vous y trouverez…ben vous verrez bien !!!

Bon week end à tous!

Une application internet riche (ou RIA pour Rich Internet Application) se caractérise notamment par :

  • Sa faculté à pouvoir utiliser des technologies issues du Web dans sa conception (ex. html, javascript, Ajax, actionscript…),
  • Ses grandes possibilités et facilités de communications avec le monde du Web notamment (mais pas seulement),
  • La séparation entre l’interface graphique de l’application (décrite à l’aide de balises dérivées du XML) , et le code de l’application proprement dite,
  • Un design et une interactivité particulièrement soigné*

*Le design de l’application peut être, en tout ou partie, soit réalisé par le développeur (quand le développeur a du talent !), soit réalisé par un designer / graphiste.

Aujourd’hui différentes solutions permettent une meilleure et plus étroite collaboration entre le développeur et le designer, notamment grâce à la séparation de l’IHM et de la logique applicative. Ainsi le développeur peut se concentrer sur ce qu’il sait faire de mieux, le développement, le designer, pouvant quant à lui se consacrer au design de l’application.

Nous aurons l’occasion de revenir sur la collaboration développeurs / designers dans un prochain article.

Au début, les applications de type RIA étaient surtout des applications de type “Mashup” – en français des applications composites – typiquement, une application réunissant plusieurs services, par exemple, affichant sur une carte Google maps, la position GPS des clichés (géotagués donc) que vous avez shootés avec votre appareil photo numérique, clichés hébergés sur Flikr par exemple.

Aujourd’hui, ce cap a été franchi, et les technologies de RIA sont aujourd’hui couramment utilisées dans de nombreux projets professionnels (Google finances, SAP…).

Différentes technologies permettent de réaliser des  RIA, Microsoft propose la sienne, Silverlight, basée sur le framework .net, Adobe, son framework Flex, qui semble avoir la préférence des développeurs.

La technologie Ajax (couplage JavaScript/html/XML), qui est aussi utilisée par Adobe et Microsoft dans leur framework, permet également de réaliser des RIA,  elle ne nécessite par ailleurs aucun plugin dans le navigateur, à la différence des technologies proposées par Microsoft et Adobe.

Cette technologie est aujourd’hui très répandue, initialement c’était la technologie de référence qui permettait d’allier une forte interactivité de l’utilisateur avec une richesse de l’interface web (avènement du web 2.0) , les technologies concurrentes étaient alors peu présentes, aujourd’hui la concurrence est rude face à Silverlight et surtout Flex.

Aux côtés de ces deux technologies on trouve JavaFx loin derrière et très peu utilisée (pour le moment).

Enfin, petite précision de vocabulaire : les application RIA peuvent être soit embarquées dans un navigateur Web, on parle alors de RIA (Rich Internet Application donc), soit fonctionner en mode desktop autonome, on parle alors plus souvent de RDA (Rich Desktop Application).

Tout prochainement, je consacrerai un article a la présentation de la technologie Flex d’Adobe. Un autre suivra et sera consacré à la communication entre une application Flex et un serveur d’application (Tomcat/BlazeDS).

Ce soir j’expérimente la publication de billets WordPress à partir de “Windows Live Writer”, logiciel de Microsoft dédié à la rédaction et publication de billets pour la blogosphère.

Windows Live Writer fait partie de la gamme de produit “Windows Live” bien connu de tous les utilisateurs Windows, notamment grâce à la popularité de Windows Live Messenger (ex. Msn Messenger), le célèbre client de messagerie instantané.

Windows Live Writer vous permettait à l’origine, de publier des billets sur Windows Live Spaces, aujourd’hui il permet la publication de billets vers le portail collaboratif SharePoint (Microsoft), mais également vers différentes plate-forme de Blog (ex. WordPress).

Je vous propose ici de vous faire partager mon expérience sous WordPress.

Pour info, voici ma config : Windows 7, blog WordPress hébergé sur www.wordpress.com (hébergement gratuit de blog WordPress).

allez go ! passons à la pratique!

1/ Lancer Windows Live Writer  

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2/ Dans la barre de menu,sélectionnez Outils, Compte, et cliquez sur “Ajouter”, une fenêtre s’ouvre, sélectionnez “Autre service de blog” et faites “Suivant”.

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3/ Saisissez les paramètres de connexion à votre blog préféré (adresse de votre blog, login, mot de passe) puis cliquez sur “Suivant”.

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4/ Windows Live Writer se connecte à votre Blog (WordPress dans mon cas), et si vos paramètres saisis sont corrects, vous propose de saisir un surnom correspondant à votre Blog, votre blog s’affichera sous ce nom dans Windows Live Writer.

Remarque : Windows Live Writer va aussi essayer d’importer votre thème, cela ne marche pas toujours, dans mon cas cela n’a pas fonctionné, cependant si vous utilisez un thème standard et classique, çà devrait fonctionner.

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5/ Rédiger votre billet, choisir une catégorie, enfin renseignez les mots clefs relatifs à votre blog, cela facilitera la recherche d’articles pour les utilisateurs et assurera une meilleur indexation par les moteurs de recherche (l’ensemble des catégories disponibles figurent au bas de la page, de même pour la zone réservée aux mots clefs).

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6/ Cliquez “Publier” une fois votre billet terminé, Windows Live Writer contacte votre Blog et votre billet est publié !

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Voilà c’est tout ! Pour le moment ! N’hésitez pas à laisser vos commentaires.